Vidéos d’Arnaud Beltrame dans les archives de l’INA
L’INA nous offre une superbe page d’archives sur Arnaud Beltrame avec ses 4 passages à la télévision lorsqu’il était en poste en Normandie ou dans l’Aude, au service des Français.
Tous les archives de l’INA sur Arnaud Beltrame
En 2011 à Avranches
« En 2011, à Avranches, les gendarmes multipliaient les contrôles routiers après la recrudescence de vols de métaux chez les particuliers et les entreprises. Dans l’archive ci-dessous, le commandant de la gendarmerie d’Avranches était une nouvelle fois présent aux côtés de ses hommes lors d’un large contrôle de véhicules contre la recrudescence des vols en Normandie. Une manière pour lui, déclarait-il, d’expliquer aux concitoyens leurs différents types de missions et de montrer leur façon de travailler. » (INA)
En décembre 2011, lors des fêtes de fin d’année, les faits de délinquance et de vols augmentaient dans la Manche. Arnaud Beltrame effectuait des patrouilles dans le sud de la Manche et assurait un service de proximité auprès des commerçants d’Avranches. » (INA)
En 2013 à Avranches
« Le 3 août 2013, la gendarmerie lançait une campagne de prévention et de communication sur les vols à la roulotte en bord de mer en Normandie. Arnaud Beltrame, alors Commandant de la Compagnie d’Avranches, était allé à la rencontre des estivants. Cette archive, extraite du « 12-13, Édition-Normandie » nous le présente dans le cadre de cette campagne. Il démontrait déjà un goût du terrain et sa proximité avec les habitants : « On a besoin d’être proche de la population pour qu’ils puissent nous dire quand ils voient quelque chose ». » (INA)
En 2017 à Carcassonne, 4 mois avant les attentats de Trèbes
En décembre 2017, le lieutenant-colonel Beltrame participait à un exercice de simulation d’attentat. TV Carcassonne l’avait rencontré. Il évoquait l’apport du drone pour ce type d’opération risquée. Ce sont ses dernières images. Elles furent diffusées dans l’un des nombreux portraits que lui consacrèrent les JT à l’annonce de sa mort. Il s’agit ici d’un portrait diffusé dans le «19-20 Édition nationale » du 24 mars 2018.
L’INA, une fenêtre sur notre héritage audiovisuel
L’Institut National de l’Audiovisuel, communément appelé l’INA, est bien plus qu’une simple bibliothèque de contenu audiovisuel. C’est une institution emblématique, gardienne de la mémoire collective française, offrant un accès sans précédent à des décennies d’archives télévisuelles, radiophoniques et cinématographiques.
Une histoire riche
Fondé en 1974, l’INA est le fruit d’une volonté politique de préserver le patrimoine audiovisuel français. Depuis sa création, il s’est développé pour devenir l’une des plus grandes archives audiovisuelles au monde. Son siège, situé à Bry-sur-Marne en région parisienne, abrite des millions d’heures de programmes télévisés, de reportages, de films, de documentaires, ainsi que des enregistrements radiophoniques.
Un trésor pour les chercheurs et les passionnés
L’INA ne se contente pas de conserver ces archives ; il les rend également accessibles au grand public. Que vous soyez un chercheur, un étudiant, un journaliste ou simplement un amateur d’histoire et de culture, l’INA offre un accès unique à des ressources précieuses. De la chute du mur de Berlin aux premiers pas de l’homme sur la lune, en passant par des moments de la vie politique française, tout est archivé et disponible à la consultation.
Des outils innovants
Pour faciliter l’exploration de ses vastes collections, l’INA a développé des outils numériques innovants. Son site web propose une interface conviviale permettant une recherche aisée à travers les archives. De plus, l’INA a lancé plusieurs initiatives pour rendre son contenu encore plus accessible, notamment en le rendant disponible sur les plateformes de streaming et en développant des applications mobiles.
Un rôle dans la préservation de la culture
Au-delà de sa mission de conservation et de diffusion du patrimoine audiovisuel, l’INA joue un rôle crucial dans la préservation de la culture et de l’identité française. En numérisant et en rendant accessible un large éventail de contenus, il contribue à sensibiliser les générations futures à l’importance de notre héritage culturel et audiovisuel.